Pourquoi une journée européenne de la prostate et non une journée « mondiale ».
Alors que ce cancer va sans cesse destructeur dans le monde, les victimes se multiplient à un rythme vertigineux à travers toute la planète. Ce mal, dont nul sexe masculin n’est exempt, a été mal connu – du moins difficile à diagnostiquer depuis plusieurs siècles,( notamment en Haiti) au point d’être identifié ou confondu à d’autres cancers.
Cause de mortalité à grande échelle au pays de Dessalines, le cancer de la prostate demeure incurable.
Dans les pays développés – la France par exemple – ça se soigne à succès, et les soins y apportés, se révellent merveilleux scientifiquement.
Guérir du cancer de la prostate est hypothétique et dommageable ( perte de virilité ) et toute opération chirurgicale éffectuée en ce sens, ralentit la course vers la mort, mais n’apporte jamais la guérison définitive.
La détection de ce mal, faite au seuil de la quarantaine, rentre dans le cadre de la prévention salutaire et en même temps facultative.
En Haiti, un test de dépistage est le moyen le plus sûr pour nos compatriotes, de combattre ce fléau. Les moyens pour y parvenir, sont disponibles dans les centres médicaux.
Toute négligence en ce sens, peut être fatale, de manière prématurée, pour les sujets qui en sont atteints.