Ce même mardi 14 novembre 2017, ces deux zones ont partagé le tableau de violence avec des morts et des blessés chacune de son côté.
Deux configurations géographiques différentes c’est vrai, avec pourtant une similitude scénique, le fait que deux écoles ont figuré sur les deux tableaux.
Dans la zone rurale du nord de la Californie où la fusillade avait eu lieu, le tireur s’en était pris tout d’abord aux membres de sa famille, secondo à son voisinage immédiat et enfin à une école primaire dans les alentours.
Tandis qu’à Gran ravinn – Bolosse une fusillade entre la police et des bandes armées s’est soldé par un total de deux morts du côté des forces de l’ordre et par plusieurs tués du rang des bandits et de la société civile. Cette fois une partie de la scène meurtrière se déroulait dans une école congréganiste.
Établir un parallèle entre ces deux événements n’est pas de notre intention sauf que nous estimons que l’insécurité, ces derniers temps, est mondiale, personne n’en est exempt. Des quatre coins du globe une désolation généralisée commence à se manifester au point de se plomber de peur et de crispation.
BABY ESAÏE DOMINIQUE