L’Association des Ecoles privées de la Région goavienne (AEPREG) presse les autorités éducatives de poursuivre le programme de scolarisation universelle gratuite et obligatoire (PSUGO) dans les institutions scolaires non-publiques.
Plus de sept mille enfants risquent de rater l’année scolaire sans ce programme, alerte le secrétaire général de l’AEPREG Fritzner Augustin.
Il avance que les portes de 60 pour cent des écoles à Petit-Goâve et Grand-Goâve sont fermées deux semaines après la rentrée des classes.
L’Association qui compte 285 membres pour la plupart des directeurs d’écoles, réclame également l’acquittement des dettes du PSUGO allant de 2016 à 2018.
Fritzner Augustin, directeur de l’Ecole communautaire de Bel Avenir, participait jeudi à rubrique « Invité du jour » sur la Radio Nationale d’Haïti présentée par Jude St Fleur.
Le secrétaire général de l’AEPREG Fritzner Augustin a, d’un autre côté, critiqué l’attitude des autorités éducatives qui, selon lui, négligent les écoles non-publiques dans les programmes de subvention, de dotation de livres et de cantines scolaires.
JSF/SN