La nation haïtienne pleure l’assassinat féroce du président de la république Son Excellence Monsieur Jovenel Moïse, un homme qui a su emmener ses visions sur le champs de batail afin de pouvoir les transformer, question d’améliorer la vie des déshérités-es d’un pays où son fondateur Jean Jacques Dessalines prononça sur le sort de ses pauvres dont leurs pères se trouvèrent en Afrique.
La nation haïtienne porte le deuil de ce crime qui fait fondre le rêve des gens du pays en dehors, des citoyens haïtiens-nes assoiffés-es d’une vie meilleure, des jeunes entrepreneurs qui nécessitent du crédit pour agrandir leurs entreprises, des travailleurs qui ont toujours voulu avoir leurs propres banques de crédit, des citoyens et citoyennes de toutes les catégories sociales.Un crime qui détruit le rêve des travaux d’infrastructure.
L’orgueil d’une nation blessée au plus profond de son sentiment patriotique, une histoire maudite qui reflète l’étouffement de la démocratie. Haïti terre de liberté, baignée par le sang de son premier citoyen, saccagée par la tyrannie qui désigne une instabilité teintée d’un flou inuoï et d’un désaccord profond. L’espoir est en berne.
Nous pleurons le sang et la vision quasi-dérracinés! L’arrachement de la vision! La disparition de l’énergie de tolérence, l’effondrement du rêve de mettre le pays sur la voix du changement durable.
En se prosternant par devant ce symbole de courage, la radio nationale d’Haïti présente ses sympaties à la première dame Martine Moïse tout en lui souhaitant un prompt rétablissement, sincères sympathies aussi à tous les membres de sa famille et alliés-es au peuple haïtien et à la nation dessalinienne.
Bon travèse Ekselans Jovenel Moïse!
Fòk nou jwenn jistis!